Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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10.12 - Le Docteur tombe
The Doctor Falls (2)
Le vaisseau-colonie est sous la menace des Cybermen venant des ponts inférieurs. Le Docteur mène ses amis vers un niveau supérieur de l'engin où vit une communauté de fermiers. Il cherchera un moyen de sauver tout le monde, y compris Bill, transformée en Cyberman. Mais, du fait la dilatation du temps à l'intérieur du vaisseau, les Cybermen évoluent très rapidement vers des formes plus dangereuses...
Diffusion originale : 01 juillet 2017
Diffusion française :
01 juillet 2017
Réalisat.eur.rice.s :
Rachel Talalay
Scénariste.s :
Steven Moffat
Guest.s :
Michelle Gomez
,
John Simm
,
Briana Shann
,
Rosie Boore
,
Samantha Spiro
,
Simon Coombs
,
Nicholas Briggs
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 11 mai 2024 à 22:51 |
Sacré final qui recolle les morceaux d'une saison "à l'ancienne" sans réel fil rouge et sacrément en dessous de ce à quoi on a été habitué avec Dr Who. Et grâce à ce final donc, tout est fini, rond et bien fait, prêt pour une nouvelle ère ! Adieu Nardole, Adieu Capaldi <3 (et ciao Bill ! reviens pas stp) |
Avis favorable | Déposé le 01 novembre 2018 à 15:04 |
Oui, c'était très bien oui. Et c'était très bien car, comme dans l'épisode précédent, Moffat sort un peu de sa formule habituelle pour les finaux et se met à hauteur de personnages, qui a toujours été le vrai coeur du show, et non ses enjeux qu'il a fini par rendre ridicule de surenchère et de perte d'impact (n'est-ce pas Hell Bent ?) et son méta - globalement laissé de côté ici - devenu insupportable de vacuité et de gratuité, et surtout parce qu'il en fait quelque chose de très intéressant. Merde, c'est même le seul épisode qui a réussi à faire un tant soi peu quelque chose de cette tanche insupportable de comic relief pas drôle de Nardole, c'est dire ! Tous les personnages sur le départ ont ainsi une très belle porte de sortie. Et ce, y compris pour celles qui font grincer les fans, soit Missy, dont le fait qu'elle ne puisse finalement pas aider le Docteur est une idée très réussie et intelligente dans une scène déchirante, et Bill, qui certes a la même fin que Clara sauf que cette fin lui conviens mille fois mieux qu'à Clara, sublimant le personnage au lieu d'être contre-productif vis à vis de ce qui a été développé pour ce dernier. C'est du coup un beau lot de consolation pour Pearl Mackie qui a porté la saison a bout de bras en dépit de la sous exploitation criminelle de son personnage et a qui on aura au moins offert une fin convenable pour son personnage. Et les acteurs sont au top (en particulier Peter Capaldi et Pearl Mackie), tout comme la réal qui nous offre quelques plans sublimes, notamment en fin d'épisode. Bon, il y a toujours quelques soucis par ci et là hein. L'épisode reste massivement du recyclage d'anciennes idées (mais au moins c'est du recyclage intelligent et pertinent cette fois, ce qui est plus que ce que le gros de l'ère Moffat sous Capaldi n'ait jamais fait), il y a toujours ce goût douteux pour les références modernes et les vannes SJW (dieu merci Moffat ne mettra jamais les mains sur un Docteur femme) et la caractérisation du Master Simm est aux fraises, déjà parce qu'assez incohérente vis à vis de The End of Time, mais surtout parce qu'on a affaire ici bien plus à un mix entre Simm et Delgado (et ce même sur le plan visuel d'ailleurs) que le maître Simm tel qu'il a toujours été. C'est pas super raccord côté caractérisation quoi, et puis niveau justification pour son retour, Moffat s'en tire encore avec une explication bien fumeuse (les Time Lords et en particulier Rassilon n'avaient en temps normal aucune raison de l'aider à guérir). Mais bon, on n'est plus à ça prêt avec Tonton Steven ... Mais pour une fois depuis bien (trop) longtemps, on a un final réussi, émouvant, et efficace, qui donne une idée du résultat sans doute bien plus réussi de ce qu'aurait pu donner la seconde moitié de l'ère Moffat s'il s'était davantage concentré sur son matériau que sur les fans et s'il avait davantage remis son style en cause vis à vis du premier que du second. Après faut pas perdre de vue que c'est plus facile cela dit de faire un final réussi et satisfaisant après une belle saison de merde qui aura bien fait chuter le niveau hein. Et ce seul final ne suffit absolument pas à rattraper la catastrophe globale qu'est cette saison 10, qui aurait vraiment mieux fait d'être réduite à quelques épisodes spéciaux comme en 2009 tant Moffat n'avait clairement envie de ne raconter que cette histoire là de plus. Mais au vu de la gueule des 3/4 des finaux de l'ère Moffat, on peut déjà s'estimer très heureux du résultat, oui. Quel dommage qu'il ne se soit pas arrêté là. Ca n'aurait peut être pas sauvé son ère, mais ça ne l'aurait en tout cas pas enterrée définitivement. Et lui avec ... |
Avis favorable | Déposé le 26 juillet 2018 à 02:30 |
Spoiler
Une histoire qui dit que parce qu’il y a encore quelques gamins à sauver, ça vaut carrément le coup de se battre. Missy apprend, Bill résiste, et le monde peut encore changer ! |
Avis favorable | Déposé le 03 janvier 2018 à 04:37 |
Spoiler
Un final inespéré qui est quasiment parfait de bout en bout parce qu’il véhicule une chose primordiale pour finir en beauté une ère/une saison : un sentiment d’accomplissement. Tous les personnages ont une porte de sortie absolument idéale, logique et/ou déchirante. Du sort horrible de CyberBill à son issue poétique, Pearl Mackie termine sur ce qui est probablement son meilleur épisode ayant réussi à rendre hommage à son personnage, aussi maigre celui-ci a-t-il été. C’est aussi une superbe illustration de la signification des Cybermen, de même que la première scène sur le toit de l’hôpital au début de l’épisode où en trois lignes de dialogue, le Douzième Docteur unifie toute la timeline des Cybermen et rend cohérent toute l’histoire, en justifiant leur création non pas comme un plan maléfique mais comme une marque de volonté de survivre des humains dans une évolution parallèle qui tourne mal. Très, très fort. Un peu comme "The Witch's Familiar" la saison précédente pour les Daleks, cet épisode redéfinit la notion du Cyberman. Ce concept de génie parvient à redonner du sens à cet ennemi à travers le passé, le présent et le futur de la série. Le tout avec quelque chose de macabre, de politique, d'humain. Quel chef d'oeuvre. Même chose pour Nardole, bien qu’en trop/sous-utilisé toute la saison, qui parvient à briller dans l’histoire, cette dernière exploitant les éléments laissés par la première partie en les reliant à tout le personnage du Doc très joliment, un peu à la façon d’un The Time of the Doctor (le village isolé à défendre, les enfants et la guerre) à la fin bien plus mélancolique.
Que dire des Maîtres dont les dialogues sont tous fameux, tantôt hilarants, tantôt géniaux ? Le final conclut tellement bien l’histoire du Maître qu’on pourrait laisser Missy comme sa dernière incarnation – ce qui est d’ailleurs sous-entendu dans sa scène finale. Cette dernière conclut non seulement tout l’arc du Maître depuis The End of Time en dépeignant un Maître plus calculateur, patient et machiavélique que son homologue fou à lier à cause des tambours… mais l'épisode conclut également tout l’arc du Maître depuis l'incarnation Missy par un changement de cœur final logique mais qui restera ironiquement inconnu du Docteur. Quelle p*tan de tragédie. Missy vient définitivement de sceller sa place de meilleure incarnation du Maître dans mon coeur pour ma part. Deux highlights en particulier : d’une part la scène finale de Missy et du maître de Simm dont je viens de parler, où John Simm et Michelle Gomez sont parfaits. D’autre part bien sûr le speech du Docteur aux deux Maîtres, ultra puissant, où Peter Capaldi brille et synthétise l’évolution de Twelve depuis son premier épisode. Peter Capaldi a eu beaucoup de speechs et est en quelque sorte devenu le "Docteur à speechs" de la série, mais celui-ci détrône peut-être tous les autres. Chaque mot est délivré juste parfaitement. Pendant une minute, Peter Capaldi est face caméra, nous attrape l'âme et nous secoue les tripes. En même temps, il avait déjà été seul face caméra pendant 50 minutes dans Heaven Sent et ça ne l'avait pas empêché de briller, rien d'étonnant. Allez on se le remet just because :
On ajoute à tout cela une réalisation impressionnante (certains plans sont magnifiques – toute la dernière séquence à l’étage 507 d’un Docteur au milieu d’une terre brûlée) et une bande-son mémorable, et on obtient sans doute le meilleur final de toute la série, symboliquement issu de sa pire saison et aux antipodes de toute celle-ci bien que véhiculant certains thèmes communs (l’humanité, l’espoir, la défense de l'humanité) : The Doctor Falls est spectaculaire, émotionnel et extrêmement satisfaisant. Est-ce que ça aurait dû être le dernier épisode de Peter Capaldi ? Oui, sans doute, un poil similaire à The Time of the Doctor mais tellement cohérent. Est-ce que cela retire quelque chose à l’épisode ? Pas vraiment, car cela ajoute un cliffhanger assez incroyable et offre une porte de sortie un peu différente au Douzième Docteur par rapport à tous les précédents, puisque pour la première fois la cause de la régénération et l’épisode de régénération seront totalement distincts. Est-ce que le spécial de Noël, dernier épisode de Twelve, va souffrir de la situation ? Ça reste à voir, mais difficile de dire non à un dernier tour de manège avec Peter Capaldi à bord. Quoiqu'il en soit, quel épisode, quel Docteur ! Il s'agit probablement du final de saison le plus abouti de tous avec celui de la saison 5. |
Avis neutre | Déposé le 23 août 2017 à 10:26 |
Spoiler
Mouais, l'épisode est correct mais c'est pas non plus l'extase absolue. Dans les points positifs, je mettrais la prise de conscience de Bill qu'elle est un cyberman et tout ce qui va avec (les gens qui ont peur) qui est vraiment bien mise en scène. Et le discours final du docteur aux maîtres qui est assez puissant et tragique. Sinon, le reste, ça se regarde mais ça repose quand même beaucoup sur du brassage d'air et des gros trous scénaristiques pour le coup, qui laissent pas mal de questions en suspens, du genre : - Le maître à servit à quoi ? Parce que je n'ai même pas l'impression qu'il soit vraiment à l'origine des cybermens. Il a pris le pouvoir, a foutu la grouille mais c'est tout, les mondasians ont fait leurs cybermens tout seuls dans leur coin. Il n'aurait pas été là que le résultat aurait été identique je pense (et Bill aurait été transformée aussi). Dans cet épisode, il brasse de l'air plus qu'autre chose. Certes, il y a une bonne dynamique de développement dans la relation entre le docteur et le maître mais ça pouvait, potentiellement, être mis dans n'importe quel autre épisode sans implication sur le reste de l'histoire. - Le concept de temps relatif sur le vaisseau : c'est une bonne idée mais j'avais déjà quelques doutes sur son utilisation et ça ne s'arrange pas ici : pourquoi l'équipage envoyé au fond de l'appareil n'est pas remonté au lieu de rester en bas procréer comme des couillons ? Comment les cybermens peuvent monter en 5 minutes au niveau 2 du vaisseau pour récupérer Bill en début d'épisode et ne sont pas foutus : 1) d'y rester pour prendre le contrôle du vaisseau, 2) de remonter pour aller au niveau 507 ? l y a que moi que ça gêne ou j'ai rien compris ^^ ? |
Avis favorable | Déposé le 05 juillet 2017 à 23:53 |
Spoiler
Mais quel dommage! Enfin 2 bons épisodes dans une saison totalement oubliable. Seul bémol: Bill. L'actrice est vraiment bonne, mais ce personnage a été tellement inutile qu'il m'a été difficile de ressentir quoi que ce soit pour elle. Et cette fin... Bon dieu, Moffat est incapable de simplement tuer ses personnages? Déja avec Clara ça m'avait fait bondir mais là... En dehors de ça, la fin des Maitres était classe même si je doute de la disparition permanente de cette némésis. Et les Cybermen Mondasien sont effectivement terrifiant. Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu un épisode "horreur" dans le show. Question aux spécialistes: Un futur changement de sexe du Doc est très fortement sous-entendu (la derniére scéne avec les flashback de toutes les compagnes notament) mais il me semble que le prochain à déja été révélé. On est sur-sur de l'acteur qui reprend? |
Avis favorable | Déposé le 03 juillet 2017 à 08:40 |
Spoiler
Un très bon final, mais si pas du tout exempt de défauts. - A quoi ont vraiment servi Le Maitre dans cet épisode? Et Missy dans cette saison? Pourquoi le Docteur s'obstine à garder auprès de lui deux personnages qui passent leurs temps à l'insulter ou à essayer de le tuer? Par contre, leurs fins donnent une très bonne scène. - Il est pas un peu loupé le plan du Docteur? Se sacrifier pour faire monter la population de quelques étages, sachant que cela ne le fera que gagner quelques mois de sursit? Dans 6 mois ou 1 an, Nardole est mort, c'est ça? - De même, la scène du début où le Docteur feint un coup pour taper en mode hypersonique sur le clavier et changer les paramètres des Cybermen est bien naze. - La fille du Pilot tombe carrément du ciel. Je l'avais totalement oublié. Cela permet d'offrir une belle fin à Bill, mais cela laisse un goût de précipitation dans la bouche. Mais pour les scènes où Bill comprend sa condition de Cyberman sont vraiment parfaites. Et ce cliff de fou, quand même qui nous fait dire vivement Noel. C'est vraiment la force de DW : même après une saison pourrave, même à terre, la bête reste fascinante. |
Avis favorable | Déposé le 02 juillet 2017 à 19:10 |
Spoiler
Nardole qui finit en couple avec Catherine Frot... Cela pouvait-il en être autrement ? <3 <3 <3 <3 |
Avis favorable | Déposé le 02 juillet 2017 à 01:57 |
Quel beau final. Une magnifique fin pour Bill et Missy et un cliff qui donne vraiment envie d'être en décembre ! |
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Quand un épisode est tellement bon que même en ayant été spoilé de partout, il reste génial...
Vous voyez l'avis de Galax ? Vous le prenez, et vous avez mon avis en beaucoup mieux dit (oui, technique de flemmarde, mais je sais qu'il ne m'en tiendra pas rigueur).